Appel a temoins: tout quitter pour vivre a l'etranger
le 02/03/2013 à 12:52 Citer ce message
Je suis journaliste pour une nouvelle émission TV.
Nous sommes à la recherche d'une personne qui hésite a partir vivre à l'étranger, ou à rester vivre ici avec sa famille (amis, fiancé...)!
Nous pouvons vous aider a prendre la bonne décision.
Contactez-nous au 01 46 21 84 32 ou par mail à amandacasting@yahoo.fr
A très vite!
Amanda
01 46 21 84 32
le 04/03/2013 à 21:55 Citer ce message
J'aimerai bien aller vivre au Sénégal pour un projet professionnel avec une amie et j'hésite et en même temps je suis emballée par le projet ...
Voilà pourquoi je réponds à votre annonce pour savoir comment vous pouvez m'aider. merci
le 27/03/2013 à 17:50 Citer ce message
Je suis Patrick Chuzeville–henry, j’ai été ouvrier d’état pendant 30 ans, je suis à la retraite pour invalidité depuis le 6 novembre 2012. Je vais vous raconter mon histoire afin que chacun sache le calvaire que je vis quotidiennement par la faute de personnes incompétentes.
Le 12 janvier 2010 vers 7h40, en me rendant au travail, à l’école des pupilles de l’air de Montbonnot en Isère, j’ai été victime d’un accident du travail à la suite d’une faute inexcusable (article L 452-1 du Code de sécurité sociale) de mon employeur. En effet, j’ai fait une chute sur une plaque de verglas alors que le parking aurait du être salé et dégagé bien avant notre arrivée. J’ai été accompagné d’un collègue de travail qui est prêt à témoigner sur les circonstances de l’accident. J’ai donc été emmené à la clinique afin de passer
des radios, à la suite de ça, un médecin m’a prescrit un arrêt de travail d’un mois.
Je l’ai signalé au bureau du personnel civil, service au sein duquel une erreur administrative a été commise par rapport au remplissage d’un formulaire. Pendant plus d’une année, l’armée m’a payé en accident du travail sans aucun problème, puis mon histoire prend un virage décisif le 2 février 2011.
Ce jour-là, j’ai été ausculté par un médecin contrôle militaire dans une caserne de Lyon. Cette consultation avait pour but de faire un point sur mon état de santé avant une future opération du dos suite à ma chute. Ayant aussi des pathologies à la main (multiples opérations de la main) suite à un accident du travail de 2002, ce médecin m’a affirmé qu’au regard de mon état de santé il allait m’obtenir un taux de 70% d’invalidité. Trois mois après, j’ai reçu un courrier qui stipulait que j’avais été consolidé (considéré comme guérit) avec séquelles avec un taux de 0 % pour le dos et 15% pour la main….Après de nombreuses recherches, il s’avère que cette personne n’avait pas la capacité pour émettre un avis médical sur moi puisqu’il est un médecin interne à l’armée.
Suite à cette visite, le bureau du personnel civil a fait pression pour moi afin que signe des papiers en m’expliquant que c’était la seule solution pour que je sois payé et que la sécurité sociale prenne la suite.
En juin 2011 mon dossier a été présenté devant une commission pour déterminer la responsabilité entre la sécurité social et la pension des armées.
La sécurité sociale a précisé à la pension des armées qu’étant donné que c’était un accident du travail et non un arrêt maladie, ils devaient continuer de me payer.
La pension des armées à déclaré qu’au bout d’un an, un dossier devait passer en maladie longue durée et comme j’ai signé des papiers allant dans ce sens, je n’ai touché à partir de ce moment que les indemnités de la sécurité sociale, soit 911 euros.
Au mois de décembre 2011, j’ai rencontré un médecin contrôle de la sécurité sociale, qui après pris connaissance de mon dossier complet, m’a expliqué qu’il ne pouvait rien faire tant que je ne serai pas opéré et que mon état soit stabilisé.
Le 24 avril 2012, j’ai été opéré du dos, on m’a fixé deux plaques sur les vertèbres abîmées lors de mon accident de travail, on m’a également posé des vis et l’on m’a fait une greffe.
Toutes les entités de l’armée ont fait preuve d’immobilisme le plus complet et ont manqué de professionnalisme à mon égard puisqu’après de multiples demandes, l’assistante sociale de l’école des pupilles de l’air n’a pas jugé bon de m’octroyer une aide et l’Armée estime que mes problèmes de dos remontent bien avant ma chute au travail.
C’est totalement faux, en effet avant ma chute j’ai pu monter seul des étagères métalliques, porter de gros cartons assez lourds, des rouleaux de câble électrique, de gros bidons de peinture ainsi que du matériel de manutention. Mes pathologies se sont bien révélées à la suite de mon accident du travail.
Vu la situation j’ai rencontré un juriste lors d’une permanence gratuite dans une mairie, ce monsieur m’aide dans les démarches administratives et juridiques. Nous avons écrit au Président de la république, au Ministre de la défense et à l’Etat Major afin de leur faire connaître ma situation, nous sommes sans réponse à ce jour.
L’Armée m’a ensuite envoyé des courriers stipulant qu’il ne m’indemniserait plus, que je n’étais plus en arrêt maladie mais en congé sans salaire Nous avons alors constitué un dossier de mise en retraite pour invalidité, car c’était la seule solution pour que mes pathologies soient reconnues et que je sois indemnisé.
A la suite de cette demande, l’Armée m’a fait convoquer devant trois médecins contrôles, un psychiatre, un rhumatologue et spécialiste de la main.
Concernant ma dépression, j’ai obtenu un taux d’invalidité de 6%, pour mon dos le taux 20 % après l’opération alors que sans aucuns soins ni intervention chirurgicale, le médecin de l’armée m’avait octroyé 0 % un an plus taux!
Lors du rendez-vous avec le spécialiste de la main, chez qui je me suis rendu accompagné du juriste, j’ai remis un document stipulant que je bénéficiais d’un taux d’invalidité de 15% pour problèmes liés à la main, ainsi que plusieurs certificats médicaux expliquant qu’on ne pouvait plus m’opérer de la main sous risque d’en perdre l’usage.
Pourtant ce médecin, alors qu’il nous avait dit qu’il maintenait un taux à 15% puisqu’il n’y aurait plus d‘amélioration, a remplit les documents en indiquant un taux de 5 %.
J’ai donc du faire un recours devant le tribunal administratif, à ce jour nous attendons la réponse.
J’ai du rencontrer ces médecins à Vienne et Lyon, certains plusieurs fois, j’ai me déplacer en ambulance, car il m’est impossible de faire de longs trajets en position assise.
Suite à cette procédure et à ces expertises j’ai été mis à la retraite pour invalidité le 6 novembre 2012, cependant à ce jour la pension des retraites, organisme payeur pour les retraites n’a pas reçu tous les documents de l’armée me concernant et ne peut traiter mon dossier.
Jai du me déplacer plusieurs fois à l’école des pupilles de l’air pour savoir où en était mon dossier, curieusement depuis que je leur ai fait savoir qu’il y avait eu une faute inexcusable de la faute de mon employeur dans la survenance de mon accident du travail et qu’ils risquaient gros, on m’avance plusieurs versions…..
En effet, dans un premier temps la responsable m’a signalé que mon dossier était en cours de traitement, puis on m’a dit qu’il avait été égaré et dernièrement on m’a expliqué qu’ils n’étaient pas obligés de transmettre les documents demandées alors qu’ils serviront à l’élaboration du paiement de ma pension retraite.
La pension des armées a commencé à me verser de l’argent depuis fin janvier 2013, cependant ce sont des avances car ils n’ont pas les informations pour me payer ma réelle retraite.
J’ai été privé de salaire pendant plus d’une année, ma pension d’invalidité est erronée, je perçois beaucoup moins que ce qui m’est du, la pension des armées me doit encore deux mois de retraite et n’a pas commencé à me verser ma vraie retraite, l’Armée ne remet pas les documents ce qui bloque la situation.
Ces documents devraient permettre d’établir ma retraite définitive, ce qui aurait pour conséquence l’arrêt de mes crédits car j’ai souscrit des assurances auprès de mon établissement bancaire.
Je me retrouve dans une situation de blocage, je suis pris en otage par l’administration militaire, je suis dans cet état physique par leur faute.
Mon quotidien est devenu très dur, je ne peux marcher que sur de courtes distances, je ne peux plus porter de charges, les déplacements en voiture sont un supplice, je dors sur un canapé car ma chambre est à l’étage et les escaliers sont devenus trop compliqués à monter, ma vie est réduite à rester chez moi au maximum et à souffrir.
Je ne pourrai plus jamais travailler, on me prive d’un travail, de 7 années de salaire avant la retraite pleine, de l’avancement que j’aurai du avoir si j’avais pu travailler, je n’aurai pas de retraite pleine.
Souvent il m’arrive de vouloir mettre fin à mes jours car j’ai l’impression que tout est contre moi, je n’ai plus d’espoir, je me sens impuissant face au système.
J’ai la chance d’être tombé amoureux d’une femme chez qui je vis et qui m’aide tous les jours à me battre, elle me soutient à chaque instant, sans elle je serai à la rue
Je mets en lumière mon histoire car j’ai besoin d’aide et de soutien, je souhaite être entendu, que mes droits soient respectés et que l’Armée fasse le nécessaire pour que ma situation se stabilise.
Je remercie par avance toutes les personnes qui pourront m’apporter un soutien, un conseil.
Je lance un appel aux pouvoirs publics et aux politiques, aux élus et à toutes les personnes qui qui détiennent le pouvoir de me sortir de cette impasse.
Merci à tous Itinéraire d’un travailleur sans histoire laissé sur le bord du chemin par son employeur
Je suis Patrick Chuzeville–henry, j’ai été ouvrier d’état pendant 30 ans, je suis à la retraite pour invalidité depuis le 6 novembre 2012. Je vais vous raconter mon histoire afin que chacun sache le calvaire que je vis quotidiennement par la faute de personnes incompétentes.
Le 12 janvier 2010 vers 7h40, en me rendant au travail, à l’école des pupilles de l’air de Montbonnot en Isère, j’ai été victime d’un accident du travail à la suite d’une faute inexcusable (article L 452-1 du Code de sécurité sociale) de mon employeur. En effet, j’ai fait une chute sur une plaque de verglas alors que le parking aurait du être salé et dégagé bien avant notre arrivée. J’ai été accompagné d’un collègue de travail qui est prêt à témoigner sur les circonstances de l’accident. J’ai donc été emmené à la clinique afin de passer
des radios, à la suite de ça, un médecin m’a prescrit un arrêt de travail d’un mois.
Je l’ai signalé au bureau du personnel civil, service au sein duquel une erreur administrative a été commise par rapport au remplissage d’un formulaire. Pendant plus d’une année, l’armée m’a payé en accident du travail sans aucun problème, puis mon histoire prend un virage décisif le 2 février 2011.
Ce jour-là, j’ai été ausculté par un médecin contrôle militaire dans une caserne de Lyon. Cette consultation avait pour but de faire un point sur mon état de santé avant une future opération du dos suite à ma chute. Ayant aussi des pathologies à la main (multiples opérations de la main) suite à un accident du travail de 2002, ce médecin m’a affirmé qu’au regard de mon état de santé il allait m’obtenir un taux de 70% d’invalidité. Trois mois après, j’ai reçu un courrier qui stipulait que j’avais été consolidé (considéré comme guérit) avec séquelles avec un taux de 0 % pour le dos et 15% pour la main….Après de nombreuses recherches, il s’avère que cette personne n’avait pas la capacité pour émettre un avis médical sur moi puisqu’il est un médecin interne à l’armée.
Suite à cette visite, le bureau du personnel civil a fait pression pour moi afin que signe des papiers en m’expliquant que c’était la seule solution pour que je sois payé et que la sécurité sociale prenne la suite.
En juin 2011 mon dossier a été présenté devant une commission pour déterminer la responsabilité entre la sécurité social et la pension des armées.
La sécurité sociale a précisé à la pension des armées qu’étant donné que c’était un accident du travail et non un arrêt maladie, ils devaient continuer de me payer.
La pension des armées à déclaré qu’au bout d’un an, un dossier devait passer en maladie longue durée et comme j’ai signé des papiers allant dans ce sens, je n’ai touché à partir de ce moment que les indemnités de la sécurité sociale, soit 911 euros.
Au mois de décembre 2011, j’ai rencontré un médecin contrôle de la sécurité sociale, qui après pris connaissance de mon dossier complet, m’a expliqué qu’il ne pouvait rien faire tant que je ne serai pas opéré et que mon état soit stabilisé.
Le 24 avril 2012, j’ai été opéré du dos, on m’a fixé deux plaques sur les vertèbres abîmées lors de mon accident de travail, on m’a également posé des vis et l’on m’a fait une greffe.
Toutes les entités de l’armée ont fait preuve d’immobilisme le plus complet et ont manqué de professionnalisme à mon égard puisqu’après de multiples demandes, l’assistante sociale de l’école des pupilles de l’air n’a pas jugé bon de m’octroyer une aide et l’Armée estime que mes problèmes de dos remontent bien avant ma chute au travail.
C’est totalement faux, en effet avant ma chute j’ai pu monter seul des étagères métalliques, porter de gros cartons assez lourds, des rouleaux de câble électrique, de gros bidons de peinture ainsi que du matériel de manutention. Mes pathologies se sont bien révélées à la suite de mon accident du travail.
Vu la situation j’ai rencontré un juriste lors d’une permanence gratuite dans une mairie, ce monsieur m’aide dans les démarches administratives et juridiques. Nous avons écrit au Président de la république, au Ministre de la défense et à l’Etat Major afin de leur faire connaître ma situation, nous sommes sans réponse à ce jour.
L’Armée m’a ensuite envoyé des courriers stipulant qu’il ne m’indemniserait plus, que je n’étais plus en arrêt maladie mais en congé sans salaire Nous avons alors constitué un dossier de mise en retraite pour invalidité, car c’était la seule solution pour que mes pathologies soient reconnues et que je sois indemnisé.
A la suite de cette demande, l’Armée m’a fait convoquer devant trois médecins contrôles, un psychiatre, un rhumatologue et spécialiste de la main.
Concernant ma dépression, j’ai obtenu un taux d’invalidité de 6%, pour mon dos le taux 20 % après l’opération alors que sans aucuns soins ni intervention chirurgicale, le médecin de l’armée m’avait octroyé 0 % un an plus taux!
Lors du rendez-vous avec le spécialiste de la main, chez qui je me suis rendu accompagné du juriste, j’ai remis un document stipulant que je bénéficiais d’un taux d’invalidité de 15% pour problèmes liés à la main, ainsi que plusieurs certificats médicaux expliquant qu’on ne pouvait plus m’opérer de la main sous risque d’en perdre l’usage.
Pourtant ce médecin, alors qu’il nous avait dit qu’il maintenait un taux à 15% puisqu’il n’y aurait plus d‘amélioration, a remplit les documents en indiquant un taux de 5 %.
J’ai donc du faire un recours devant le tribunal administratif, à ce jour nous attendons la réponse.
J’ai du rencontrer ces médecins à Vienne et Lyon, certains plusieurs fois, j’ai me déplacer en ambulance, car il m’est impossible de faire de longs trajets en position assise.
Suite à cette procédure et à ces expertises j’ai été mis à la retraite pour invalidité le 6 novembre 2012, cependant à ce jour la pension des retraites, organisme payeur pour les retraites n’a pas reçu tous les documents de l’armée me concernant et ne peut traiter mon dossier.
Jai du me déplacer plusieurs fois à l’école des pupilles de l’air pour savoir où en était mon dossier, curieusement depuis que je leur ai fait savoir qu’il y avait eu une faute inexcusable de la faute de mon employeur dans la survenance de mon accident du travail et qu’ils risquaient gros, on m’avance plusieurs versions…..
En effet, dans un premier temps la responsable m’a signalé que mon dossier était en cours de traitement, puis on m’a dit qu’il avait été égaré et dernièrement on m’a expliqué qu’ils n’étaient pas obligés de transmettre les documents demandées alors qu’ils serviront à l’élaboration du paiement de ma pension retraite.
La pension des armées a commencé à me verser de l’argent depuis fin janvier 2013, cependant ce sont des avances car ils n’ont pas les informations pour me payer ma réelle retraite.
J’ai été privé de salaire pendant plus d’une année, ma pension d’invalidité est erronée, je perçois beaucoup moins que ce qui m’est du, la pension des armées me doit encore deux mois de retraite et n’a pas commencé à me verser ma vraie retraite, l’Armée ne remet pas les documents ce qui bloque la situation.
Ces documents devraient permettre d’établir ma retraite définitive, ce qui aurait pour conséquence l’arrêt de mes crédits car j’ai souscrit des assurances auprès de mon établissement bancaire.
Je me retrouve dans une situation de blocage, je suis pris en otage par l’administration militaire, je suis dans cet état physique par leur faute.
Mon quotidien est devenu très dur, je ne peux marcher que sur de courtes distances, je ne peux plus porter de charges, les déplacements en voiture sont un supplice, je dors sur un canapé car ma chambre est à l’étage et les escaliers sont devenus trop compliqués à monter, ma vie est réduite à rester chez moi au maximum et à souffrir.
Je ne pourrai plus jamais travailler, on me prive d’un travail, de 7 années de salaire avant la retraite pleine, de l’avancement que j’aurai du avoir si j’avais pu travailler, je n’aurai pas de retraite pleine.
Souvent il m’arrive de vouloir mettre fin à mes jours car j’ai l’impression que tout est contre moi, je n’ai plus d’espoir, je me sens impuissant face au système.
J’ai la chance d’être tombé amoureux d’une femme chez qui je vis et qui m’aide tous les jours à me battre, elle me soutient à chaque instant, sans elle je serai à la rue
Je mets en lumière mon histoire car j’ai besoin d’aide et de soutien, je souhaite être entendu, que mes droits soient respectés et que l’Armée fasse le nécessaire pour que ma situation se stabilise.
Je remercie par avance toutes les personnes qui pourront m’apporter un soutien, un conseil.
Je lance un appel aux pouvoirs publics et aux politiques, aux élus et à toutes les personnes qui qui détiennent le pouvoir de me sortir de cette impasse.
Merci à tous